Alevtina Valentine, artiste peintre belgo-ukrainienne

née à Bruxelles, fait des études de stylisme et se forme

en sculpture en cours du soir.  Ensuite, elle obtient deux masters, en philosophie et en théologie. Peintre autodidacte, excellente dessinatrice-née, elle peint le chemin de l’être spirituel, principalement celui de l’être-femme. « Je peins des femmes pour offrir des nouvelles images d’identification aux femmes, représentées par une femme et non plus par un homme peintre.  Ce sont des portraits de l’intérieur vers l'extérieur et non pas le contraire, selon le point de vue transmis essentiellement par les hommes. »  Une intériorité féminine qui suggère, dans les yeux de l’âme, une présence vivante, pensante, réelle.  Au cœur de son travail se situe une manifestation du sacré qui se ressent.

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Fondatrice d'un mouvement qu'elle a appelé L’Art Sensible en 2003, Valentine a créé deux revues universitaires cherchant à articuler philosophie et art dans sa première revue nommée COUPOLE, à l’Université Saint Louis (Bruxelles), mais aussi et déjà, spiritualité et art, dans sa seconde revue VOBISCUM, à la Faculté de théologie

de l’Université catholique de Louvain-la-neuve.  

Elle a également co-géré le Prix d’art chrétien

du Fonds René Pouillard durant deux années

et a été trois années secrétaire générale du centre culturel PLÉIADE 2000,  au Gabon.  Après avoir dirigé la galerie d’art Le 101, place du châtelain à Bruxelles durant plusieurs années, elle dirige à présent l'Espace Ysmaïloff à Paris. Son œil est sûr et profond.

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